Old Blacks - Les anciens joueurs du Rugby Club de Thann

Old Blacks - Les anciens joueurs du Rugby Club de Thann

DISCOURS JUBILE : CYRILLE BESSAH - DENIS HELBLING - STEPHANE MELLINGER - 4 JUIN 2022

JUBILE Cyrille BESSAH – Denis HELBLING – Stéphane MELLINGER

THANN, le 4 juin 2022.

 

Bonjour à tous,

 

C’est avec grand plaisir que je vous souhaite la bienvenue au triple et redoutable jubilé Bessah – Helbling - Mellinger qui était programmé en 2021 mais qui a été reporté pour les raisons que vous connaissez tous.

-Triple, car ce n’est pas un hasard s’ils fêtent leur jubilé ensembles. 2 d’entre eux vivent pratiquement en concubinage alors que le 3ème ne loupe jamais une occasion de les rejoindre pour une partie à trois.

-Redoutable parce que j’en ai tellement vu depuis tant d’années de la part de ce trio que l’on s’est demandé, lorsque le comité des old blacks a choisi de les honorer, si on avait bien fait de les fêter ensembles. De plus, étant plusieurs à être munis de Stents, notre cœur a été mis a rude épreuve lorsque Denis nous a annoncé 65 invités, plus ceux de Stéphane et Cyrille, on s’est vraiment demandé ou nous allions !

Ayant eu une carrière assez longue, les jubilaires font parti d’une génération que j’ai croisé et que je croise encore sur et en dehors du terrain. Talentueux sur le pré, ces 3 là sont aussi ultra performants lors des 3ème mi-temps ou chacun a beaucoup brillé et brille encore malgré les années qui passent.

Une petite explication concernant le jubilé pour les non initiés : les anciens joueurs du RC Thann organisent tous les ans un jubilé afin de mettre en avant des personnages qui ont été ou qui sont encore particulièrement marquants dans la vie du club et des old blacks. Le premier jubilé a eu lieu en 1985. Si bien souvent et à part égale, nos trois lascars ont été pénibles (voire très pénibles) à supporter, ils ont aussi beaucoup fait pour la bonne réputation du club, ce sont des personnes très attachantes et pour lesquelles nous avons tous beaucoup d’affection et d’estime. Par contre, au niveau du coup de main lors des fins de soirées, pas la peine de compter sur eux pour débarrasser ou faire la vaisselle, ils préfèrent laisser ces taches ingrates à ceux qui ont l’habitude de les faire et les encourager depuis le bar, un verre à la main.

On m’a demandé de faire un discours plutôt bref, je vais donc essayer de vous résumer la vie de rugbyman de chacun d’eux car il y a tellement à dire, mais avant de révéler quelques anecdotes concernant nos 3 amis, je voudrais faire une petite parenthèse sur l’année 1982, époque dont on a déjà bien rabâché les oreilles des rugbymen Thannois. En effet, il y a maintenant 40 ans presque jour pour jour puisque le match a eu lieu le 6 juin 1982, le RC Thann jouait la finale du championnat de France de 4ème série à Villefranche sur Saône contre l’US Tautavel. A l’époque, c’était un exploit car au comité d’Alsace-Lorraine, seul Strasbourg était parvenu à ce niveau de la compétition. Bien sur, ce n’était que de la 4ème série mais en ce temps la, nombreux étaient les clubs du sud de la France à créer et recréer des clubs pour joueur le titre national avec des joueurs de très bon niveau en fin de carrière. C’est d’ailleurs ce qui nous est arrivé dès les 16ème de finale puisque 2 joueurs de Roanne, dont le ½ d’ouverture qui nous a passé 2 drops de 50 mètres dans les 10 premières minutes, jouaient l’année précédente au top niveau national au club du Creusot. En finale, pareil avec 3 anciens de l’USAP. Nous allons fêter cet anniversaire lundi soir, mais permettez moi de saisir cette occasion pour rendre hommage à 2 de nos très chers potes finalistes disparus et auxquels nous pensons toujours beaucoup : Léo Boyer et Teddy Wolfarth.

Je rends maintenant hommage aux 3 jubilaires, les noms que je vais citer dans ce discours m’ont été donné par eux-mêmes, toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé est tout à fait volontaire :

 

Denis Helbling (19/02/1975)

Denis est surement le jubilaires que je connais le mieux puisque je l’ai quasiment vu naitre. Non, je n’ai pas assisté à sa naissance mais ses parents étaient les voisins directs de mes ex-beaux parents. Denis estime qu’il a débuté sa carrière à l’âge de 16/17 ans, il ne s’en rappelle plus exactement. Nous sommes donc en 1991 ou 1992 lorsqu’il commence pratiquer le rugby (et la bringue) à l’UNSS. Ce sont Greg Steiger, alors son meilleur pote et Olivier Gerthoffer qui essaient de le convaincre de venir jouer au RC Thann. La décision finale sera prise lorsque Dédé Lang, alors joueur émérite et entraineur des juniors du club, viendra arbitrer un match scolaire et lui fera signer une demande de licence dans la foulée. Vu ses qualités de jeu au pied et sa vivacité, il a longtemps hésité entre le poste d’ouvreur et celui de pilier, non je déconne, il n’a pas eu le choix ! Pilier. Il suit une carrière classique en junior bien drivé par Attila, puis en sénior ou il va être pris en main par Lippy pour lequel il a beaucoup d’admiration estimant que c’est lui qui lui a tout appris du métier de première ligne. Il évolue d’abord en réserve puis il intégrera rapidement l’équipe première ou sa tenue en mêlée et ses qualités de joueur de ballon feront l’unanimité. Il fait son premier match en une à Yutz, ou évoluait Lulu, un pilier lorrain à l’origine de bien des incidents. Connaissant la réputation de son futur adversaire, Denis n’a pas dit un mot du voyage et était blanc comme un cul en entrant sur le terrain. David Dusé était capitaine ce jour là et lors de la 1ère mêlée du match, il a glissé un mot à Lulu pour lui expliquer que le jeune Helbling faisait ses premières armes. Et ce jour-là, contrairement à ce qui se passe habituellement à Yutz, il n'y a pas eu de bagarre.Au travers de nos discussions ainsi que dans le petit mot qu’il m’a joint, j’ai bien senti qu’il m’en voulait encore, car j’étais l’entraineur à cette époque, de ne pas l'avoir titularisé plus tôt en équipe fanion. La suite de sa carrière prouvera que j’ai eu tort. Après 15 années au RC Thann, Denis part pour une nouvelle vie professionnelle et rugbystique. En 2007, il s’installe à Fleury-les-Aubrais, dans la banlieue d’Orléans. Comme au RC Thann, Denis devient vite une plaque tournante du club, grâce à ses qualités de joueur mais aussi à sa capacité d’animer les 3ème mi-temps. Manque de chance pour lui, à Fleury, il y a visiblement un entraineur qui me ressemble et qui va lui provoquer sa plus grande déception, dixit Denis. En finale contre Chinon, montée en fédérale 3 en jeu, Bernard le met remplaçant après avoir été titulaire pendant 26 matchs, lui disant qu’il garde l'expérience sur le banc. Mais finalement, c’est avec ce club qu’il va gagner le titre de champion du centre de promotion d’honneur. En fin de saison 2012, alors qu’il est déjà domicilié à Crépy-en-Valois suite à une mutation professionnelle, il revient à Fleury pour supporter ses anciens potes qui jouent la finale du championnat régional. Par précaution ou au cas où, il emmène ses affaires et se retrouve remplaçant en première suite à la malheureuse blessure de son pote Lolo et participe donc à cette rencontre mémorable.

Il arrive à Crepy en fin de carrière ou il va trouver une autre nouvelle famille. Son meilleur souvenir sur le terrain est ce match contre Coulomiers, ou jouait un autre Thannois Alexis Guthfreund, avec une équipe de guerriers en raison des absences et cette chance d'avoir pu jouer un match officiel avec Zoul, un autre entraineur emblématique. C’est à Crépy que Denis débute sa carrière de dirigeant car il devient vice président du club. Il intègre ensuite les folklos de Crépy en 2015, ces sympathiques folklos que nous avons déjà eu le plaisir d’accueillir à Thann et qui sont présents aujourd’hui, avant de revenir en Alsace en 2019. Denis a repris des fonctions au RC Thann puisqu’il est maintenant manager senior et éducateur des U10, mais aussi responsable du comité des fêtes et …de la foire aux vins, un poste fait pour lui.

Des souvenirs avec Denis ? Ce n’est pas un discours qu’il faudrait faire, mais plutôt un bouquin qu’il faudrait écrire, comme d’ailleurs pour les 2 autres jubilaires. Tout le monde se souvient de ce fameux coup de poing ridicule contre Verdun, il rate son adversaire et emporté par son élan, il s’écrase au sol sans avoir touché qui que ce soit. Denis est de toutes les tournées du RC Thann et des old blacks. Il va y laisser quelques plumes ! En Ardèche, pour une fois que je réussi à plaquer correctement un petit ½ de mêlée, je le fauche involontairement et lui fracture la cheville. Il avait le pied à l’envers. On essaie de lui cacher la gravité de la blessure, mais les joueurs qui passent et voient sa jambe, se tiennent la tête et disent : Oh Putain ! Mais les pompiers arrivent. Et il descend du camion rouge une sorte de miss France aux formes plutôt généreuses. A partir de ce moment là, plus personne n’en avait rien à faire de la blessure de Denis. Pareil lors de la virée à Marmande ou il chute malencontreusement dans les douches à 5 h du mat et se ruine le coude. Direction les urgences et immobilisation. On lui dit de ne pas prendre les antidouleurs, vu la quantité de sa consommation de liquide précédent l’accident, il les prend quand même et passe le reste de la tournée à vomir ! On pourrait raconter encore mille aventures, et blessures, d’ailleurs plutôt survenues à l’occasion de la 3ème mi-temps que lors des 2 premières !

Pour clore mon hommage, je dirai que Denis est un vrai pilier, « droit » dans tous les sens du terme, en mêlée, au bar bien sur, mais aussi dans l’organigramme du club par son dévouement et surtout dans notre estime pour sa loyauté et sa gentillesse.

 

Stéphane Mellinger (10/11/1977) :

Stéphane est lui aussi un pur produit du lycée Thannois qui a tellement fourni de joueurs au RC Thann depuis la création du club. C’est Gilles Wirth, jeune joueur du RCT, qui l’a recruté dans la cour du bahut en lui disant qu’il était grand et taillé pour jouer au rugby. Difficile à convaincre, il a accepté de suite de signer une licence.

Il arrive au RC Thann en cadet, sous la houlette d’un trio de coachs Pouey-Duse D et Raoul. Comme souvent pour les premiers matchs, il est placé à l’aile. En juniors, il n’échappe pas à son destin et se retrouve 2ème ligne. Il monte en séniors et sera champion d’Alsace-Lorraine réserve, en 1999. Stéphane est parfois un peu nerveux, en championnat de France réserve,  à Besançon je crois, et alors que c’est un de mes potes qui arbitre, il joue au pied, mais pas dans le ballon et se fait virer.

Après avoir pris du métier au contact des anciens et vu ses qualités de manieur de ballon, il passe en 3ème ligne pour rester définitivement à ce poste et intègre l’équipe fanion dont il devient le capitaine durant plusieurs années. Stéphane a été longtemps le principal pourvoyeur en touche du club, un secteur ou il a dominé les airs au regard de ses qualités de détente et de dextérité. Il a été formé à la 3ème mi-temps par notre ami jubilaire Denis qui a tout de suite senti le potentiel du petit nouveau.

Tout le monde ne se souvient pas nécessairement de son premier match en une. Lui se rappelle du programme complet de la journée : remplaçant et rentré en cours de match contre Illkirch, gagné 7 à 6, Lippy qui envoie des pizzas en touche. puis suite classique à cette époque avec dans l’ordre bringue au club house, puis direction chez Brigitte et César palace pour terminer. 

En 2008, il tente sa chance au niveau supérieur, en fédérale 3, et signe au Colmar rugby club alors entrainé par Armando Souza, l’ancien coach des Thannois. Il reste 2 ans dans la préfecture du Haut-Rhin et est un titulaire indiscutable au poste de 3ème ligne.

Le noir et blanc lui allant mieux que le rouge et vert, il revient à Thann pour terminer sa carrière.

Acteur de la vie festive du club et des old blacks, Stéphane a été et est encore très actif lors des tournées, toujours prêt à faire un truc que l’on n’attend pas. Excessif est je pense, le mot juste. Par exemple, lors de la tournée des anciens dans le beaujolais, jouer à la pétanque dans le mobil home dont il a fallu remplacer les wc cassés étant donné que cet objet n’est pas fait pour recevoir des boules, enfin si, mais pas de 700grammes. Ou encore démonter l’intérieur du frigo pour aller s’y refroidir.

Lors de notre tournée à Bordeaux et sur le retour du bassin d'Arcachon ou nous avions participé à l’inauguration d’un bar à huîtres, après avoir solidement établi un record de consommation de bouteilles de vin blanc et rosé (plus d'une soixantaine), nous rentrons au camping. Sur la route du retour, après un arrêt dans un bureau de tabac qui malheureusement faisait bar, impossible de faire revenir Stéphane et Cyrille. Incroyable, c’est Denis qui réussit à les faire remonter dans le bus. Fatigué après quelques bières et ricards, Stéphane, dans une grande envolée (peut être se croyait-il en touche) à atterrit de tout son long sur la plage arrière qui bien sûre c'est affaissée ! Bruno, le trésorier-chauffeur, voyait déjà la caution envolée. Incapable de se relever il a fini le retour affalé dans le coffre jusqu'au camping. Pour la plage arrière, miraculeusement, pas de dégâts.

Stéphane est le genre de gars qui est un cauchemar pour un organisateur de tournée, étant donné l’incertitude qu’il fait planer à chaque moment de la journée. Stéphane est actuellement responsable des U19 du RC Thann qui jouent en entente avec Mulhouse. Il est également membre des old blacks dont il ne loupe jamais les tournées, …malheureusement.

 

Cyrille Bessah (15/7/1974) :

Cyrille a débuté le rugby à Cernay. A l’époque, c’est Fernand Keiflin qui s’occupait des jeunes dont il assurait l’encadrement technique mais aussi l’ambiance en organisant de joyeux pique-niques familiaux. Le club de Cernay n’a vécu que quelques années mais il a fournit pas mal de joueurs talentueux au RC Thann et qui ont été la base des équipes de jeunes et lorsque celui-ci a cessé son activité, Cyrille alors en catégorie benjamin a rejoint le RC Thann en compagnie de ses frères, eh oui, il y avait pas mal de Bessah en ce temps là. C’est Georges Winckler qui venait le chercher à Cernay avec sa VISA rouge pour les entrainements du samedi. Plus jeune de la fratrie, Cyrille allait regarder jouer ses frangins, mais il ne l’emmenait que s’il préparait leur sac de sport et surtout ne devait rien oublier sinon, pas de match ! C’est parfois Henri Pouey qui le véhiculait à l’arrière de la fameuse camionnette qui a trimbalé tellement de jeunes du club. Les retours de matchs et surtout l’ambiance qui règne dans le bus grâce à certains breuvages houblonnés le convainc que c’est le rugby le sport qu’il pratiquera, mais ses parents ne sont pas très favorables à cette idée en raison de l’état de santé de ses frères après les matchs. Je lui demande de me citer un souvenir marquant : il me dit « son premier perroquet à 13 ans » ! On a déjà l’impression que Cyrille a commencé par la troisième mi-temps, avant d’avoir joué les 2 premières ! La scolarité au lycée Louis Armand de Mulhouse n’arrange pas les choses, il ne joue plus au rugby, et ne reprend qu’en junior Thann, puis fait 2 ans à Nancy avant de revenir en 1996 définitivement à Thann ou l’attendent ses potes dont on vient juste de parler. Roi de la fête, Cyrille a du mal à résister aux soirées du samedi soir et c’est souvent Denis qui vient le sortir du lit pour aller jouer.

J’ai demandé à Cyrille de me raconter quelques souvenirs. Le mieux est d’évoquer ses propres paroles, je le cite :

« Le match magique contre Pont à Mousson à Thann. Je marque 2 essais ce jour là. Denis fait un appel « réserve » mais malheureusement, il a loupé la balle, on a oublié de mettre les clochettes au ballon et là, Thierry me fait la passe, je jongle avec le ballon je me voyais déjà me faire démonter si je le loupais car à cette époque, j’avais peur de Thierry. »

« St Louis à Thann , je joue 15, bonne partie , un coup de pied à suivre de St Louis, je laisse rentrer la balle dans l’en but, je voulais qu’elle sorte des limites du terrain mais manque de pot, la balle s’arrête juste avant la ligne, je glisse, j’aplatis mais je prends un coup de tête de l’ailier adverse dans le maxillaire, j’ai cru qu’il m’avait tout pété et la j’ouvre l’œil qu’il me reste et Stéphane me dit avec la rage « tu n’avais qu’à aplatir plutôt », et il se casse , même pas il prend de mes news »

« On part à Verdun dernier match de la saison sans enjeu pour nous. J’étais blessé et  j’affichais le score. Ce jour la, on prend une valise incroyable. J’ai demandé à notre entraineur de faire sortir Lippy (qui est menuisier) pour qu’il fasse un trou à la scie sauteuse dans le tableau de marque parce qu’il y avait plus place pour afficher le score. Par contre, lors de la 3ème mi temps, on leur a fait comprendre que l’on était pas venu ici pour être là-bas ».

Cyrille stoppe sa bizarre carrière en 2005 lorsqu’il part à Paris pour raisons professionnelles.

Je n’apprends rien à personne en disant que Cyrille est l’amuseur public hors pair du RCT et maintenant des old blacks. En 2000, nous étions 40 participants à la tournée au Maroc, 8 jours au club méditerranée. Je me souviens bien de la soirée ou l’animateur, pourtant habitué à avoir à faire à ce genre d’énergumène incontrôlable, a faillit perdre son calme lorsqu’il l’interpellait sans cesse durant le spectacle en lui disant qu’il était fils d’émir. Phénoménal durant toute la semaine, Cyrille s’est lamentablement éteint lors du voyage retour, atteint par la tourista au plus mauvais moment. Dans l’avion, il s’est approprié les toilettes situées à l’arrière, il a ainsi fait profiter de son malaise toutes les personnes assises à proximité. A l’atterrissage, il a bousculé tout le monde pour descendre en premier, puis il a franchi la douane en courant sans s’arrêter pour se précipiter aux WC. Mais nous avions atterri à Lyon, et le retour à Thann en bus n’a été qu’un long périple ponctué d’arrêts pour que Cyrille puisse se soulager. Nous n’avons pas raté une seule aire d’autoroute. Malgré son passé rugbystique qui lui a permis de se muscler, il est devenu fragile des pattes de derrière comme à Gubbio ou il s’est claqué ou encore en Bretagne, ou nous avons du interrompre la rencontre pour l’évacuer, victime d’une nouvelle blessure musculaire. Cyrille est l’imitateur impayable de Laporte lorsqu’il était entraineur de l’équipe de France.

Pour terminer, je souhaite à tout le monde d’avoir un ami comme Cyrille !

 

Remise cadeaux jubilaires

 

 

Thierry : remise trophée aux jubilaires

 

Remise fleurs a Marion

 

Remise récompenses :

Soulier de bronze : remis par Cyrille à Laurent (Orléans)

Soulier d’argent: remis par Stéphane à Olivier (Colmar)

Soulier d’or : remis par Denis à Fred (Crépy en valois)

 



05/06/2022
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